Alain-Fournier

Henri Alban Fournier dit Alain-Fournier est né le 3 octobre 1886 à la Chapelle-d’Angillon, dans la maison de ses grands-parents maternels, les « Barthe ». Il est décédé le 22 septembre 1914 près de Saint-Rémy-la Calonne, où il fut inhumé en 1992.

C’est l’auteur du très célèbre ouvrage Le Grand Meaulnes (1913).

Alain Fournier adore le terroir et les paysages solognots et berrichons dans lesquels prennent place les aventures de ses personnages.

Les villages de Nancay et de la Chapelle-d’Angillon font partie intégrante des racines familiales d’Alain-Fournier.

Ce dernier parlait régulièrement de son attachement pour le vieux-Nancay. Son père, son oncle et ses tantes paternels, ainsi qu’un grand nombre de ses cousins et ses cousines y sont nés. Il venait fréquemment passer quelques jours de vacances en famille chez son oncle Florentin.

Pour suivre les traces d’Alain-Fournier :

Autour de Nançay :

  • Le magasin de l’Oncle Florentin à Nançay, quant à lui est toujours visible, mais d’autres commerces se sont succédés à la même adresse. Une plaque commémorative dédiée à l’écrivain et à son oncle est présente sur la devanture.
  • Le musée imaginaire du « Grand-Meaulnes » à la Galerie Capazza avec des maquettes des décors du film d’Albi Cocco et des photos de Famille.
  • A Neuvy-sur-Barangeon, un espace Alain-Fournier a été aménagé au Musée d’histoire militaire Historimage. En effet, ce musée abrite une pièce entièrement consacrée à l’écrivain et particulièrement à la période de son service militaire puis à sa mobilisation lors de la Première Guerre Mondiale.

Zulma Carraud

Zulma Carraud, fidèle amie d’Honoré de Balzac et auteure de livres de morales et d’instruction civique, a vécu à Nohant-en-Graçay, où elle repose.

+ d’infos

Maurice Mac-Nab

Le chansonnier Maurice Mac-Nab est né au Château de Fay, à Vierzon en 1856. Il se produisit notamment au Chat Noir à Montmartre. Il connut la célébrité avec le Grand Métingue du Métropolitain en 1887. Le théâtre de Vierzon porte son nom.

Marc Larchevêque

Marc Larchevêque rachète l’usine de son père rue Pierre Debournou en 1891, à 20 ans. Chimiste de formation, génial inventeur, il est à l’origine de nombreux procédés de fabrication encore utilisés actuellement. Egalement fondateur de la section céramique de l’Ecole Nationale Professionnelle, en 1921, il termine sa carrière capitaine des Sapeurs-Pompiers de Vierzon, dirigeant le corps vierzonnais depuis 1899.

Célestin Gérard

Célestin Gérard, compagnon menuisier, s’installe à Vierzon en 1848 et ouvre, face à la gare qui vient d’être inaugurée, un atelier de réparation pour matériels agricoles. Inventeur de génie, il sera à l’origine de la première locomobile française, qui mettra l’entreprise sur les rails durables de la réussite. Suite à sa vente en 1879 à la famille Arbel, son usine devient la S.F.M.A.I (Société Française de Matériel Agricole et Industriel.) et fabriquera, dès 1934, les tracteurs deux temps au bruit si caractéristique, les “Vierzon”.

Félix Pyat

Félix Pyat, journaliste et homme politique français, est né à Vierzon en 1810. Il fut membre du conseil de la Commune.

Edouard Vaillant

Edouard Vaillant, homme politique socialiste, est né à Vierzon en 1840. Il est l’un des plus importants élus de la Commune de Paris. Sa sépulture est située dans le cimetière de Vierzon-Ville.